Le fondateur du positivisme avait posé en principe la supériorité de la civilisation européenne, chargée d'ouvrir la voie du progrès à l'humanité. Qu'en est-il de son attitude face aux débuts de la colonisation, et, parallèlement à son concept d'altruisme, de son approche de l'esclavage ? La communication tentera de faire le point sur les doctrines comtiennes sur ces questions, quitte à en révéler les éventuelles contradictions. Il s'agira aussi de replacer cette pensée dans sa logique propre et dans son siècle pour éviter les jugements moraux a posteriori.
Samedi 5 juin à partir de 14h. 30, Fondation Gabriel Péri, 11 rue Étienne Marcel, Pantin.